La fin de mars, tout avril et un peu de mai, c’est toute l’apogée du printemps méditerranéen que nous avons manquée. Mais on lit encore dans les masses verdoyantes l’effervescence végétale qui a animé la place des quais pendant ces semaines de confinement. Petit récit de ce que nous avons vu lors d’un après-midi privilégié (mais nuageux).
Qu’avons nous manqué ?
derniers parfums de l’exubérance printanière